Apiculteur et artiste, Alain
Bauman donne vie à ses toiles en peignant ses
abeilles.
Alain BAUMAN :
Depuis toujours intrigué par les
mystères de la photographie, je m’y implique réellement dès l’âge de 16 ans,
développant moi-même mes photos en noir et blanc de divers reportages,
animaliers, de mode, artistiques, associant la mise en page, les lignes
générales, les trucages, etc.
Cet amour pour la photo et
l’étude de la composition de l’image ont continué jusqu’à ce jour.
C’est en 1999 que j’ai commencé à
suivre 2 années de cours très variés et complets (auprès de Christian Leloux, à
Couvin, en Belgique), qui m’ont permis d’apprendre tous les rudiments du
dessin, de l’aquarelle, de la gouache, de l’acrylique, du fusain, de la
sanguine, de l’eau-forte, etc.
Mon sens très prononcé des
couleurs, de leurs mélanges et variations, donnent alors de la profondeur et de
la vie à mes oeuvres.
Mais c’est en définitive après
un stage de formation à la peinture à l’huile (à l’atelier Christian Colle à
Couvin, en Belgique) en janvier 2002, que j’ai pensé pouvoir me révéler par
cette technique.
Depuis lors, c’est en
autodidacte que j’ai continué à peindre de nombreuses toiles.
Ma vie à la campagne et ma
passion en tant qu’apiculteur font partie de mes sources d’inspiration, mais
mes sujets sont aussi variés que mon imagination me le suggère et mon style
rappelle mon amour de toujours: la photo.
Mes peintures sont le plus
souvent figuratives, insistant sur le plus petit détail, ce qui leur donne une
profondeur et un relief parfois plus précis qu’une photo: c’est de
l’hyperréalisme.
J’ai surpris maintes fois des
visiteurs lors d’expositions, tentés de vouloir toucher l’un ou l’autre animal
ou objet peint, le supposant réellement vivant.
J’ai exposé dans plusieurs
villes en Belgique, mais aussi à Marseille
Les œuvres ci dessous sont disponibles au jour de l'édition de ce post 06/01/2020
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