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vendredi 31 janvier 2020

Vibration perpétuelle: Exposition artistique l'Abeille Blanche: Du 31 janvier au 28 mars 2020


 – Vernissage jeudi 30 janvier à 19:00


Pascal Pique, fondateur du Musée de l’Invisible, entouré des artistes de l’exposition, présente la genèse du projet l’Abeille Blanche.

Le monde des abeilles fascine. On remarque depuis peu un regain d’intérêt des artistes contemporains pour les butineuses. L’exposition “L’Abeille blanche” s’intéresse à ce phénomène. Ainsi qu’au lien immémorial entre l’humanité et le monde apicole qu’il est urgent de restaurer.

L’Abeille blanche incarne les dimensions mythiques, technologiques et énergétiques de ce lien, que cette exposition propose de redécouvrir et d’expérimenter.

Pour le Lancement du Manifeste de l’Abeille Blanche :
Petr Davydchenko, Myriam Mechita, Antonio Couto (apithérapeute), Éric Andrieu (député européen)…

Notre connaissance et notre vision des abeilles est en pleine évolution. La médecine conventionnelle commence à redécouvrir les vertus antiseptiques et curatives du miel ou de la propolis, qu’elle réintroduit dans certains de ses protocoles.

Des chercheurs en intelligence animale ont attesté que les abeilles pouvaient avoir des émotions allant plus vite que la vitesse de la lumière. Le rôle fondamental des abeilles dans la pollinisation et l’entretien de la biodiversité est connu depuis toujours et commence à intégrer les dispositifs légaux de protection de l’environnement. Si bien que l’abeille est devenue l’un des grands symboles de la transition écologique.

Le projet même de L’Abeille blanche s’élabore à la croisée de ces savoirs. Ici, l’idée est de privilégier et d’inventer des formes de collaboration inter espèce entre le monde humain et celui des abeilles. Car l’abeille représente l’un des modèles les plus aboutis de réciprocité et de symbiose entre un organisme vivant et son biotope, dont il est important de s’inspirer.

Telle une recette alchimique, l’exposition au centre d’art contemporain du Parvis veut sublimer ces dimensions à travers le travail d’artistes sensibles à ces questions. Notamment à celles des fréquences, des ondes et des énergies du vivant que véhiculent les abeilles. C’est pourquoi il ne s’agit pas ici de simplement illustrer ou représenter des abeilles. Les œuvres sont plutôt envisagées comme les catalyseurs et les transmetteurs de ces énergies si particulières auprès du public le plus large. Comme pour un vaste soin.

Cette exposition signale également le lancement d’un projet artistique d’une nouvelle génération : l’Abeille blanche, centre d’art des abeilles, à partir de l’entreprise apicole Ballot-Flurin à Maubourguet dans les Hautes-Pyrénées qui développe déjà des commandes artistiques sur le site même de ses activités. Plusieurs œuvres présentées ici sont ont été réalisées à partir de ce contexte et de la pratique du yoga des abeilles. D’autres préfigurent des projets qui pourront s’y développer in situ. L’occasion aussi de lancer le Manifeste de l’abeille blanche pour lutter contre l’extinction des abeilles.


Vibration perpétuelle

L’abeille blanche c’est la vibration perpétuelle de l’abeille qui emplit tout l’univers au-delà des temps.
Nous sommes nourris, traversés et imprégnés de cette information lumineuse.
Elle apporte en nous une science particulière qui régit nos sentiments, nos pensées.
Le monde végétal l’appelle.
L’abeille blanche désire guérir l’humanité de sa soif de pouvoir et de l’oubli de l’amour.
Par ses vols, ses chants, ses venins, ses miels, l’abeille blanche nous exorcise et nous embellit. Elle nous apporte l’immortalité.
Depuis mon enfance, elle s’adresse à moi et occupe mon esprit. Elle me souffle des messages précis et cohérent que je peux noter et transmettre.

Catherine Flurin

Le Parvis centre d’art, Parvis CAC – centre Méridien route de Pau, 65420 Ibos Tél : 05.62.90.60.82
Ouverts du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14 à 18H.







lundi 6 janvier 2020

APICULTEUR ARTISTE : Alain Bauman

Apiculteur et artiste, Alain Bauman  donne vie à ses toiles en peignant ses abeilles.

Alain BAUMAN : 

Depuis toujours intrigué par les mystères de la photographie, je m’y implique réellement dès l’âge de 16 ans, développant moi-même mes photos en noir et blanc de divers reportages, animaliers, de mode, artistiques, associant la mise en page, les lignes générales, les trucages, etc.
Cet amour pour la photo et l’étude de la composition de l’image ont continué jusqu’à ce jour.

C’est en 1999 que j’ai commencé à suivre 2 années de cours très variés et complets (auprès de Christian Leloux, à Couvin, en Belgique), qui m’ont permis d’apprendre tous les rudiments du dessin, de l’aquarelle, de la gouache, de l’acrylique, du fusain, de la sanguine, de l’eau-forte, etc.

Mon sens très prononcé des couleurs, de leurs mélanges et variations, donnent alors de la profondeur et de la vie à mes oeuvres.
Mais c’est en définitive après un stage de formation à la peinture à l’huile (à l’atelier Christian Colle à Couvin, en Belgique) en janvier 2002, que j’ai pensé pouvoir me révéler par cette technique.

Depuis lors, c’est en autodidacte que j’ai continué à peindre de nombreuses toiles.

Ma vie à la campagne et ma passion en tant qu’apiculteur font partie de mes sources d’inspiration, mais mes sujets sont aussi variés que mon imagination me le suggère et mon style rappelle mon amour de toujours: la photo.

Mes peintures sont le plus souvent figuratives, insistant sur le plus petit détail, ce qui leur donne une profondeur et un relief parfois plus précis qu’une photo: c’est de l’hyperréalisme.

J’ai surpris maintes fois des visiteurs lors d’expositions, tentés de vouloir toucher l’un ou l’autre animal ou objet peint, le supposant réellement vivant.

J’ai exposé dans plusieurs villes en Belgique, mais aussi à Marseille


Les œuvres ci dessous sont disponibles au jour de l'édition de ce post 06/01/2020







dimanche 5 janvier 2020

Le génie tourmenté Paul Gauguin alchimiste visionnaire et cire d'abeille

J'ai la chance d'avoir un atelier à PONT AVEN à 200 mètres de la chapelle de Trémalo, source d’inspiration pour de nombreux artistes internationaux. Elle est connue dans le monde entier car elle abrite le christ en bois polychrome qui inspira Paul Gauguin pour son « Christ Jaune ».

Fervent admirateur fasciné par Paul Gaugin au delà de son oeuvre il me fallait chercher un lien entre lui et les abeilles.
Pour l'instant je n'ai pas trouvé ce que j'espérais mais quand même un lien entre cet alchimiste de la pensée et les abeilles.

il a beaucoup utilisé la cire d'abeille pour la réalisation de quelques sculpture et surtout pour patiner ses œuvres en bois.
Des cannes, des bas ou très bas relief, des sculptures et aussi pour la couverte de quelques céramiques.

Il n'en fallait donc pas plus pour justifier cet article au cœur de mon blog sur les abeilles !









     Bâton de marche vers 1888-1890 buis, nacre, verre et fer 93,3 x 3,8 x 3,8 cm




    1881. Cire d'abeille rouge teintée peinte à l’aide d’un pigment léger

     Coffret, 1884. Poirier teinté en rouge cire d'abeille

    La Chanteuse (portrait de Valérie Roumi), 1880. Acajou plâtre cire d'abeille

     Cadre aux deux « G » 1885. Bois de noyer, cire d'abeille


Le génie tourmenté Paul Gauguin fut un alchimiste visionnaire qui revendiquait le "droit de tout oser". Son nom évoque les couleurs éclatantes de la Polynésie, des femmes alanguies aux seins nus et au regard indéchiffrable, un paradis de volupté, de fruits exotiques et de végétation luxuriante. Si ce Gauguin-là, le plus célèbre, est bien présent sur les cimaises du Grand Palais pour le grand événement muséal de la rentrée, il l'est en compagnie de perles méconnues relevant de la sculpture, des arts graphiques et décoratifs. On connaissait le peintre, on découvre l'artiste-artisan...  

Gauguin, expérimentateur acharnéA Paris ou en Bretagne, à la Martinique ou à Arles, à Tahiti ou aux Marquises, il aborde chaque médium en toute liberté, pris d'une "terrible démangeaison d'inconnu qui [lui] fait faire des folies", ainsi qu'il le confie à son comparse de l'école de Pont-Aven, Emile Bernard.
Dans le sillage des impressionnistes, d'abord, puis sur les terres du symbolisme naissant, le courtier (il le restera jusqu'au krach de 1882) investit très vite les techniques les plus variées en s'initiant au modelage, sous la houlette de son voisin parisien de la rue des Fourneaux, Jules Bouillot. Lassé du marbre, qu'il juge trop académique, Gauguin exécute des portraits de ses enfants en cire et des figures en bois frustes qui renvoient à un art populaire.  Du "bibelotage", persiflera Pissarro, le mentor des débuts, face aux objets insolites créés par Gauguin, tel le Coffret, réalisé en 1884, dont une face est ornée de danseuses inspirées de Degas et l'autre incrustée de netsuke japonais.  Deux ans plus tard, on retrouve la figure de la ballerine degasienne sur le Vase au buste de femme en grès. Car, entre-temps, le boulimique touche-à-tout aborde les arts de la terre et du feu dans l'atelier d'Ernest Chaplet, rue Blomet. "La céramique n'est pas une futilité. [...] Dieu fit l'homme avec un peu de boue et aussi un peu de génie", affirme-t-il à qui veut l'entendre. 

À Tahiti, loin de l'étouffante civilisation occidentale
Tout le processus créatif de Gauguin est là: l'assemblage d'éléments composites, l'emprunt à d'autres cultures, la répétition de thématiques récurrentes. "Vous verrez que cela tient ensemble", lance-t-il aux sceptiques. Ses carnets de croquis regorgent de projets de céramiques dont les motifs rejoignent ceux de ses toiles, à l'instar de la Bretonne, déclinée à l'envi sur des dessins, un vase, un éventail, un sabot, des gravures, des peintures, où il met en avant ses sentiments intimes

La Ronde des petites Bretonnes (1888), Gauguin cherche l'équilibre entre la perception du réel et ses propres émotions.
La Ronde des petites Bretonnes (1888)




Peint à la veille du premier départ pour Tahiti, le Portrait de l'artiste au Christ jaune illustre de façon saisissante les préoccupations d'un pèlerin entré en art comme on entre en religion: "Un mélange inquiétant et savoureux de splendeur barbare, de liturgie catholique, de rêverie hindoue, d'imagerie gothique, de symbolisme obscur et subtil", s'enthousiasme alors le critique Octave Mirbeau, presque seul face à la cohorte des réticents. Gauguin, qui a abandonné femme et enfants à Copenhague, se sent douloureusement incompris. Et il n'a plus qu'une obsession: se défaire de l'étouffante civilisation occidentale. 
Lorsqu'il jette l'ancre à Papeete, en juin 1891, le peintre tombe sous le charme du mystère et de la grâce indolente qui imprègnent les habitants de l'archipel. Leur aptitude naturelle au silence lui inspire plusieurs toiles énigmatiques, comme la sublime Ahaoe Feii? (Eh quoi! Tu es jalouse?), où la femme accroupie est inspirée d'un atlante de la frise du théâtre de Dionysos d'Athènes, dont l'artiste possède une photographie.  

Dévoré par la quête du primitifA Tahiti, il découvre aussi une société largement christianisée, à des années-lumière de sa culture ancestrale. "Avoir fait tant de chemin pour trouver cela même que je fuyais!" écrit-il dans Noa Noa ("odorant", en tahitien), un récit de ses impressions polynésiennes, truffé de collages, d'aquarelles, de gravures colorisées. Pour "retrouver le foyer éteint", il part sur les traces des mythologies locales. Et qu'importe si elles ont disparu, son imagination fertile les réinvente, ressuscitant un paradis terrestre aussi désiré qu'insaisissable. 

La céramique Oviri (1894) est la première qu'il dédie à cette divinité maorie.
La céramique Oviri (1894) est la première qu'il dédie à cette divinité maorie.
RMN-GRAND PALAIS (MUSÉE D'ORSAY)/H. LEWANDOWSKI

Dans le four de Chaplet, entre ses deux séjours océaniens, il accouche d'une stupéfiante divinité, Oviri. Le thème de la mort le hante. D'où venons-nous? Que sommes-nous? Où allons-nous?, s'interroge-t-il, en 1897, sur la toile testament qu'il élabore "dans une fièvre inouïe", des idées suicidaires plein la tête.  
"Soyez mystérieuses", "soyez amoureuses et vous serez heureuses" clament les panneaux sculptés dont il a orné sa grande case sur pilotis de Hiva Oa, aux Marquises, baptisée, non sans provocation, "Maison du jouir". Délaissé par les vahinés, rongé par l'eczéma, l'absinthe et ses démêlés avec l'administration coloniale, le génie tourmenté s'éteint en 1903 dans cette demeure-atelier où il avait aboli la frontière entre oeuvre et décor -l'ultime écrin de sa dévorante quête du primitif. 
L'art moderne n'avait plus qu'à s'emparer de l'héritage polymorphe de cet "enfant qui démonte ses joujoux pour en refaire d'autres". La formule est d'un autre alchimiste, son alter ego August Strindberg. 

L'art de la synthèseEn 1888, deux ans après son premier séjour en Bretagne, Gauguin retourne à Pont-Aven, village du Finistère où il est le chef de file d'un groupe de peintres expérimentaux, les "synthétistes" . Pendant cette période charnière, l'art s'affirme chez lui comme une synthèse entre la perception du réel et ses propres émotions. Bel avatar d'une série d'études et d’œuvres consacrées à la gavotte, La Ronde des petites Bretonnes se démarque des impressionnistes en prenant de la distance avec le modèle pour privilégier la composition et le rythme.  

A l'automne suivant, il approfondit cette recherche esthétique chez Vincent Van Gogh, à Arles, au cours d'un séjour explosif, qui se termine par le fameux épisode de l'oreille coupée. "L'art est une abstraction, tirez-la de la nature en rêvant devant, et pensez plus à la création qu'au résultat", conseille-t-il en un credo qui fera le miel de ses successeurs du XXe siècle. 

Oviri, la tueuseA l'hiver 1894, Gauguin donne vie à Oviri ("Sauvage"), une grande céramique en forme de vase. Il y figure une femme à tête hallucinée terrassant un loup gisant à ses pieds dans une flaque de sang, tandis qu'elle étreint le louveteau contre son flanc. La "tueuse", ainsi qu'il la nommait, incarne à la fois la mort de son moi civilisé et le triomphe du primitif poussé à l'extrême. Elle reste la création la plus accomplie de celui qui voulait "remplacer le tourneur par des mains intelligentes".  

"J'ai été le premier à lancer la céramique sculpture", dira l'artiste qui, bien que maudit, recourait volontiers à l'autopromotion. S'il ne cesse par la suite d'introduire cette divinité maorie dans des dessins, des gravures ou des peintures, son Oviri d'argile reste la plus chère à ses yeux, jusqu'à souhaiter qu'elle veille sur son dernier sommeil. C'est finalement une version en bronze de l'oeuvre qui ornera sa tombe aux Marquises. 
Gilles LOUIS sur la base d'un article de Letizia Dannery

mercredi 1 janvier 2020

Ruche tronc d'art

Voici une superbe ruche tronc découverte en baladant sur le net.
Un magnifique travail forestier.
Si quelqu'un à plus d'information je suis preneur !








jeudi 19 décembre 2019

Femme aux abeilles. et Woman Wearing White Crew-neck Shirt Portrait

PHOTO INFORMATION

JJ Jordan  //See2Believe.redbubble.com

Woman Wearing White Crew-neck Shirt Portrait
Lens50.0mm ƒ/9.5 ISO 125
Size9.24 MB
Resolution2667px x 4000px
CameraNIKON D5300
SoftwareCapture One 11 Macintosh
Taken AtJuly 15, 2018 5:43 am


et version home made retouchée avec alvéoles de cire d'abeille...

Tatouage abeille et nid d’abeille Symbolisme et idées


Les tattoos d'abeilles ne sont pas très communs. La plupart des artistes tatoueurs ne possèdent probablement pas de stencils pour ce type de dessin. Cependant, les abeilles peuvent avoir une grande variété de significations positives qui pourraient s'appliquer à votre vie.
Bien qu’il semble rare, le tatouage abeille et nid d’abeille commence peu à peu à se démocratiser en offrant de nombreuses combinaisons tendance et intéressantes. Tout le monde sait que les abeilles jouent un rôle vital dans la vie de l’être humain. En tant que tatouages, ces petits insectes peuvent être conçus seuls ou bien accompagnés de fleurs, de nid d’abeille, de ruche et ainsi de suite. Toutes les audaces sont permises !
Pour comprendre le symbolisme qui se cache derrière une abeille, nous devons nous pencher un peu plus sur leur monde.
- Un des attributs les plus importants de l'abeille est sa loyauté. L'abeille est très loyale vis-à-vis de sa ruche et sa reine. Elle fait montre d'un grand sens de l'honneur et du devoir et fait preuve de beaucoup de constance dans son travail. Elle parcourt les alentours pour recueillir le pollen des fleurs puis retourne à la ruche. Une fois le pollen déposé, elle ressort pour recommencer sa ronde. C'est un symbole d'unité et de famille. Une fois que vous aurez compris à quel point les abeilles sont loyales, vous sentirez un grand respect pour leur espèce.
- Ces insectes sont un parfait exemple de vie structurée. Leur dur labeur ne peut passer inaperçu. Ils symbolisent le travail et le sacrifice. C'est grâce à ce dur labeur et à ce dévouement que beaucoup de fleurs et de plantes existent encore de nos jours. Ceci prouve à quel point les abeilles sont importantes pour nous.
- Protection et défense sont deux autres symboles à leur attribuer. Ce ne sont habituellement pas des insectes agressifs et, dans la majorité des cas, si vous ne les dérangez pas, elles ne vous dérangeront pas non plus: les abeilles ne sont pas comme les guêpes ou les frelons. Cependant, lorsqu'il s'agit de se défendre ou de protéger la ruche et la reine, elles sortent immédiatement leur aiguillon. Elles défendent les leurs à tout prix et donneront leur vie pour eux si cela s'avère nécessaire. Ce sont de magnifiques symboles de sacrifice et de protection.
- Elles ont aussi des significations particulières dans de nombreuses cultures. Dans certaines cultures antiques, l'abeille était un symbole de l'âme, parce qu'elle pouvait parcourir de longues distances et retrouver facilement sa ruche. Les ruchers étaient souvent utilisés dans les guerres de la Grèce Antique - ou de la Rome Antique. On les lançait sur les ennemis (on imagine facilement les dégâts que quelques milliers d'abeilles peuvent faire).
- Finalement, les tatouages d'abeille peuvent aussi être un symbole de douceur - à cause du miel, comme vous l'aurez aisément deviné. Cela peut aussi représenter une vie pleine de douceur.

Significations et dessins
Etant donné que l'abeille est un symbole positif, la plupart de ses significations seront, par nature, positives. Mais n'oubliez pas que votre tattoo peut aussi symboliser ce que vous désirez qu'il représente. Voici quelques-unes des significations les plus communes qui se cachent derrière les abeilles:
La famille
La structure
La routine
La douceur
Le miel
L'âme
L'intelligence
La protection
L'honneur
Le devoir
La loyauté
L'unité
La fertilité
Les variations les plus populaires des tattoos d'abeilles sont:

1. Les tattoos tribaux d'abeilles
Dans beaucoup de tribus indigènes du monde entier, les abeilles jouent un rôle important dans la vie quotidienne des hommes. Elles leur fournissent de la nourriture (miel et larves), un produit servant pour la chasse ou d'autres tâches importantes (cire) et sont un moyen de défense pour les habitants du lieu. Etant donné leur statut dans l'histoire de l'humanité, il n'est pas étonnant que beaucoup de régions indigènes rendent hommage à ce petit animal en créant des symboles religieux et des icônes à la gloire de l'abeille. Les tattoos tribaux d'abeilles sont une extension de cette pratique et servent à représenter la connexion spirituelle de l'homme avec l'abeille volant librement, travaillant durement et incarnant l'esprit d'équipe.
2. Les tattoos de bourdons
Les bourdons sont les poids-lourds de la famille des apoïdes. Ce sont de lourds mammouths des airs. Le son de leur fort bourdonnement est immédiatement reconnaissable. Tout comme le célèbre transformer-bourdon (Bumblebee), ces insectes sont connus pour leur féroce loyauté à une cause commune, leur capacité à travailler en équipe et leur nature laborieuse.
3. Les tattoos de reine des abeilles
La reine a toujours le dernier mot. Elle est le cœur de la ruche et contrôle chaque mouvement de milliers -voire de millions- de travailleuses. Les tattoos de reines des abeilles sont réservés aux divas chics et pleines de confiance en elles qui aiment régenter le monde qui les entoure et qui, malgré leur nature délicate, n'ont pas peur de se montrer dures. Les tattoos de reines des abeilles sont généralement portés par des femmes au fort caractère qui ont tendance à botter les derrières, puis à poser des questions.