– Vernissage jeudi 30 janvier
à 19:00
Pascal Pique, fondateur du Musée de l’Invisible, entouré des
artistes de l’exposition, présente la genèse du projet l’Abeille Blanche.
Le monde des abeilles fascine. On remarque depuis peu un
regain d’intérêt des artistes contemporains pour les butineuses. L’exposition
“L’Abeille blanche” s’intéresse à ce phénomène. Ainsi qu’au lien immémorial
entre l’humanité et le monde apicole qu’il est urgent de restaurer.
L’Abeille blanche incarne les dimensions mythiques, technologiques et énergétiques de ce lien, que cette exposition propose de redécouvrir et d’expérimenter.
L’Abeille blanche incarne les dimensions mythiques, technologiques et énergétiques de ce lien, que cette exposition propose de redécouvrir et d’expérimenter.
Pour le Lancement du Manifeste de l’Abeille Blanche :
Petr Davydchenko, Myriam Mechita, Antonio Couto
(apithérapeute), Éric Andrieu (député européen)…
Notre connaissance et notre vision des abeilles est en
pleine évolution. La médecine conventionnelle commence à redécouvrir les vertus
antiseptiques et curatives du miel ou de la propolis, qu’elle réintroduit dans
certains de ses protocoles.
Des chercheurs en intelligence animale ont attesté que les
abeilles pouvaient avoir des émotions allant plus vite que la vitesse de la
lumière. Le rôle fondamental des abeilles dans la pollinisation et l’entretien
de la biodiversité est connu depuis toujours et commence à intégrer les
dispositifs légaux de protection de l’environnement. Si bien que l’abeille est
devenue l’un des grands symboles de la transition écologique.
Le projet même de L’Abeille blanche s’élabore à la croisée
de ces savoirs. Ici, l’idée est de privilégier et d’inventer des formes de
collaboration inter espèce entre le monde humain et celui des abeilles. Car
l’abeille représente l’un des modèles les plus aboutis de réciprocité et de
symbiose entre un organisme vivant et son biotope, dont il est important de
s’inspirer.
Telle une recette alchimique, l’exposition au centre d’art
contemporain du Parvis veut sublimer ces dimensions à travers le travail
d’artistes sensibles à ces questions. Notamment à celles des fréquences, des
ondes et des énergies du vivant que véhiculent les abeilles. C’est pourquoi il
ne s’agit pas ici de simplement illustrer ou représenter des abeilles. Les
œuvres sont plutôt envisagées comme les catalyseurs et les transmetteurs de ces
énergies si particulières auprès du public le plus large. Comme pour un vaste
soin.
Cette exposition signale également le lancement d’un projet
artistique d’une nouvelle génération : l’Abeille blanche, centre d’art des
abeilles, à partir de l’entreprise apicole Ballot-Flurin à Maubourguet dans les
Hautes-Pyrénées qui développe déjà des commandes artistiques sur le site même
de ses activités. Plusieurs œuvres présentées ici sont ont été réalisées à
partir de ce contexte et de la pratique du yoga des abeilles. D’autres
préfigurent des projets qui pourront s’y développer in situ. L’occasion aussi
de lancer le Manifeste de l’abeille blanche pour lutter contre l’extinction des
abeilles.
Vibration perpétuelle
L’abeille blanche c’est la vibration perpétuelle de
l’abeille qui emplit tout l’univers au-delà des temps.
Nous sommes nourris, traversés et imprégnés de cette
information lumineuse.
Elle apporte en nous une science particulière qui régit nos
sentiments, nos pensées.
Le monde végétal l’appelle.
L’abeille blanche désire guérir l’humanité de sa soif de
pouvoir et de l’oubli de l’amour.
Par ses vols, ses chants, ses venins, ses miels, l’abeille
blanche nous exorcise et nous embellit. Elle nous apporte l’immortalité.
Depuis mon enfance, elle s’adresse à moi et occupe mon
esprit. Elle me souffle des messages précis et cohérent que je peux noter et
transmettre.
Catherine Flurin
Le Parvis centre d’art, Parvis CAC – centre Méridien route
de Pau, 65420 Ibos Tél : 05.62.90.60.82
Ouverts du mardi au samedi de 11h à 13h et de 14 à 18H.
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